Nadja, Zara & C°
Comme je le disais, j’ai relu Nadja d’André Breton, lu il y a longtemps et dont j’avais oublié la quasi totalité du texte. Le temps a fait son ouvrage, et il me semble aujourd’hui pouvoir saisir un peu la teneur de ses mots, de son génie. Il faut passer quelque part pour que les mots prennent leur sens. Je retrouve le même processus en relisant Nietzsche ou Lautréamont, avec cette impression de proximité de pensée, de ressenti, et parfois des…