Entre le chaos existentiel, et les souffrances que cela engendre, et le néant auquel on pense quand on est mort, ou l’illusion que la mort nous conduit automatiquement au lieu de nos rêves, il y a quelque chose qui nous échappe.
On dirait que nous avons oublié les leçons des déluges, tels qu’ils furent relatés, déluges de feu, ou d’eaux.
Allo, Noé ? quelle arche pour ces temps ci ?
Comment se fait-il que c’est toujours de la faute des autres ?