se lever un matin en écoutant du groove, des accordéons chauds, tango, pour prolonger la fièvre du samedi quand les gens dansent libres dans leurs corps, délivrés du poids de leurs désirs de chairs. Là où ne compte plus que le son soutenant le mouvement de leurs bras, des jambes allégées, le buste tourne comme…
via fièvre muse — Un œil pour deux
Cela revient à dire qu’il n’y a plus de morsure.
Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.